”En costumes extravagants un brin Disneyland, un brin carnaval, les chanteurs se font acteurs, danseurs et même parfois acrobates sous la férule fine et inventive de Mira Bartov, jeune femme...”
”Une découverte, un tempérament qui a su communiquer son énergie et sa fantaisie à la douzaine d’interprètes qui se partagent une trentaine de personnages et qui réussissent à maîtriser cette musique en mosaïque dont...” Webthea.com
”Mira Bartov, die junge schwedische Regisseurin, welche die Volksoper Stockholm leitet, stand vor der anspruchsvollen Aufgabe, eine Alternative zu der bildmächtigen, wirkungsvollen Uraufführungsinszenierung von Achim Freyer zu entwickeln. Anders als Freyer, der – ein auf DVD erhältlicher Mitschnitt lässt es nachvollziehen – das Geschehen im Märchenland ansiedelte, legt Mira Bartov den Akzent eher auf die verschrobene Realität, mithin den dadaistischen Aspekt des Stücks. Und zaubert herrliche Gestalten hervor, die in ihrer Absurdität geradewegs dem gewöhnlichen Leben entsprungen sein könnten. Da wären die blutrünstige Königin (Karan Armstrong) und ihr widerspenstiger Henker (Phillip Casperd), der sich weigert, der grinsenden Katze (Cyndia Sieden) den Garaus zu machen. Oder der verrückte Hutmacher (Dietrich Henschel), der mit der Zeit persönlich in Konflikt geraten und darum zu einer nicht enden wollenden Teestunde verurteilt ist. Oder eben das weisse Kaninchen (Andrew Watts), das eine aus den Fugen geratene Gerichtsverhandlung leitet – ein riesiges, durchwegs ausgezeichnet besetztes Ensemble, das hier durch die in beständigem Wandel befindliche Abflughalle strömt.” NZZ Online
”La jeune directrice du Folkoperan de Stockholm depuis 2008, Mira Bartov, n’est pas tombée dans le piège : elle conserve à l’histoire toutes ses dimensions, signant une production virtuose et bigarrée – grâce également aux décors et aux costumes joliment color(i)és de Tine Schwab et aux lumières changeantes de Kristin Bredal - qui tient à la fois du conte et de la revue, de Walt Disney et de Broadway, tendre et piquante, pleine de finesse et de rythme, où l’on oscille entre rêve et réalité à partir du moment où Alice, femme d’affaires très occupée, s’apprête à prendre l’avion, avant de se retrouver enfant dans une petite fille. Toute la production n’est ensuite qu’une invitation au voyage – le hall du théâtre est lui-même transformé en salle d’embarquement, annonce de celle qui sert de décor unique au vagabondage initiatique d’Alice. C’est poétique et tonique, déjanté et maîtrisé.” ConcertoNet.com